- Élaborer une stratégie nationale qui fera les liens entre les différents systèmes d’oppression et l’exposition aux risques environnementaux afin d’institutionnaliser le principe de justice environnementale au Québec.
- Répondre simultanément à la crise du logement et à la crise environnementale en finançant la construction de logements sociaux dans des milieux de vie durables.
- Reconnaître la vulnérabilité des communautés autochtones aux changements climatiques, et respecter et protéger leurs droits et leurs responsabilités sur leurs terres, leurs ressources naturelles et leurs modes de vie.
- Adopter un nouveau cadre environnemental pour l’extraction des ressources minérales, en interdisant notamment de déverser des déchets miniers dans les lacs et en assujettissant tout projet d’exploitation minière à la Procédure réglementaire d’examen et d’évaluation des impacts sur l’environnement (p. ex.: BAPE)
- Adopter une loi obligeant le gouvernement d’octroyer au minimum 1 % de son budget global au Ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC), afin de lui donner les ressources nécessaires pour encadrer le développement du Québec, conformément aux engagements et obligations en matière de protection de l’environnement et de la santé humaine.
- Adopter une loi accordant au MELCC la responsabilité exclusive de la politique gouvernementale québécoise en environnement et les pouvoirs nécessaires à son application.
- Reconnaître et financer l’Action communautaire en environnement.
- Intégrer de façon formelle dans les curriculums scolaires l’éducation relative à l’environnement, à l’écocitoyenneté et à la citoyenneté mondiale ainsi qu’une éducation sur l’histoire des Premières Nations, Inuits et Métis avec leur accord, et ce, de la petite enfance aux niveaux les plus élevés, tout en donnant au personnel enseignant les connaissances et les moyens pour le faire.
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